OU comment un cake licorne m’a ouvert les yeux sur l’essence véritable de notre rôle de mère
Cela part toujours d’une très bonne intention. Et d’un peu de radinerie. Il y a aussi de l’inconscience. Et surtout une incroyable capacité à sur-estimer totalement mes réelles compétences en pâtisserie.
Chaque année, je fais la même erreur, je pose la question-qu’on-ne-pose-sous-aucun-prétexte-à-ses-enfants : « quel gâteau tu veux que je te fasse pour ton anniversaire? »
OU quand la vie te bouscule, passe, et te fait de jolis clins d’oeil, un peu plus tard.
Tu en es drôlement fière, de ton cadeau en carton. Tu l’as promené partout dans la maison. Rayonnante, comme toujours ma Pimprenelle. Pour tes « deussanscommeça ».
Ce sont les copains de la crèche qui l’ont bricolé, affairés, appliqués. Des gommettes qui restent collées aux doigts, les deux bougies trop vite soufflées, alors pour toi on frappe deux fois. Des miettes de cake au chocolat partout par terre.
Moi, ce cadeau, en secret, il m’a bouleversée. Car la coïncidence était si belle…
Une grande lettre en carton, comme une toute petite clé dans mon coeur.
OU comment fêter comme il se doit les 3 ans de Mistinguette avec toutes les copines sans y laisser sa santé (mentale)
Bon, j’avoue, l’idée d’organiser un goûter, c’était la mienne. J’attendais ça depuis un bail… en fait, avant même d’être enceinte. Franchement, j’étais plus excitée qu’elle. Et plus le grand jour arrivait, plus j’en faisais des tonnes pour faire monter la sauce.
klet mariette et sa tribu 